Marie Madeleine

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Marie Madeleine est un portrait authentique et humaniste de l’un des personnages religieux les plus énigmatiques et incompris de l’histoire. Ce biopic biblique raconte l’histoire de Marie, une jeune femme en quête d’un nouveau chemin de vie. Soumise aux mœurs de l’époque, Marie défie les traditions de sa famille pour rejoindre un nouveau mouvement social mené par le charismatique Jésus de Nazareth. Elle trouve rapidement sa place au cœur d’un voyage qui va les conduire à Jérusalem.
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  • mercilienmortthankyouplusunUnDeuxtrois
    quatrecinqsixsepthuitneufdix

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Il n'y a aucune trace, aucun écrit (à part dans les évangiles, mais ils ont été tronqués ou falsifiés au cours des âges), aucun document qui puisse nous éclairer sur la vie de cette dame. Toute enquête est impossible.

Mais la réalité pourrait fort bien être la suivante : Myriam de Magdala (le nom de sa résidence, son domaine, en fait) était en réalité une riche héritière, une propriétaire terrienne et foncière qui finança et hébergea Yéshoua et sa petite troupe de disciples lorsqu'il fit son apparition dans la région.
Myriam épousa Yéshoua (Jésus) lors des fameuses noces de Cana (oui c'est lui, « l'époux », le maître de maison), tout au début de notre histoire.
Il y accomplit un mémorable « miracle » qui le désignait comme Magicien, plus fort que Simon-le-mage, son concurrent. Un titre prestigieux, quasi royal.
Shimon-Petrus (Pierre), un patron-pêcheur assez macho que Yéshoua avait recruté pour sa police était jaloux d'elle et de son ascendant sur le rabbin Yéshoua. « Le maître » embrassait Myriam sur la bouche tout le temps et ça l'énervait. Ah ! l'amour !...
Quand les Romains arrêtèrent celui qu'ils considéraient comme un agitateur politique et qui menaçait la stabilité de la région, elle comprit que l'affaire était fichue. La Pax Romana frappa et crucifia le prophète local le plus en vue.
Elle vendit tout ce qu'elle possédait et embarqua avec ses enfants (ils en avaient eu deux ou trois depuis leur mariage), ses fidèles gens de maison et ses servantes pour fuir les représailles, tant des autorités d'occupation que des différentes factions juives.
Elle aborda les rives de la Gaule (la Narbonnaise, province 100% romaine où elle avait de la famille). Le reste est légende mais les fortunes de la nouvelle secte qu'avait récupérée Saül-Paul, l'agent du fisc romain (qui était parvenu à écarter Jacob-Jacques, le frère de Yéshoua) fit qu'on se souvint que Myriam avait été très proche du fondateur du mouvement.
Paul, ce bon apôtre auto-proclamé, la calomnia (prostituée, pécheresse) et la présenta comme une dévergondée que la nouvelle religion qu'il prétendait représenter seul, avait sauvée des griffes noires de sept démons (ça sonnait bien, ce nombre sept et puis un bon vieux Satan tenait encore les masses en respect). Il n'aimait pas beaucoup les femmes.
Myriam, comme certaines autres femmes (mais pas toutes, certes non) incarnait pour ces gnostiques la divinité, la Sophia (un mot grec qui signifie sagesse ou connaissance). Équivalente à la "Shékina" des Juifs, en quelque sorte.
Un film a exploité cette théorie avec plus ou moins d'exactitude : le Da Vinci Code.
Voilà, vous savez (presque) tout, les amis ! A plus !

 

 

 


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Il n'y a aucune trace, aucun écrit (à part dans les évangiles, mais ils ont été tronqués ou falsifiés au cours des âges), aucun document qui puisse nous éclairer sur la vie de cette dame. Toute enquête est impossible.

Mais la réalité pourrait fort bien être la suivante : Myriam de Magdala (le nom de sa résidence, son domaine, en fait) était en réalité une riche héritière, une propriétaire terrienne et foncière qui finança et hébergea Yéshoua et sa petite troupe de disciples lorsqu'il fit son apparition dans la région.
Myriam épousa Yéshoua (Jésus) lors des fameuses noces de Cana (oui c'est lui, « l'époux », le maître de maison), tout au début de notre histoire.
Il y accomplit un mémorable « miracle » qui le désignait comme Magicien, plus fort que Shimon-le-mage, son concurrent.
Shimon-Petrus (Pierre), un patron-pêcheur assez macho que Yéshoua avait recruté pour sa police était jaloux d'elle et de son ascendant sur le rabbin Yéshoua. « Le maître » embrassait Myriam sur la bouche tout le temps et ça l'énervait. Ah ! l'amour !...
Quand les Romains arrêtèrent celui qu'ils considéraient comme un agitateur politique et qui menaçait la stabilité de la région, elle comprit que l'affaire était fichue. La Pax Romana frappa et crucifia le prophète local le plus en vue.
Elle vendit tout ce qu'elle possédait et embarqua avec ses enfants (ils en avaient eu deux ou trois depuis leur mariage), ses fidèles gens de maison et ses servantes pour fuir les représailles, tant des autorités d'occupation que des différentes factions juives.
Elle aborda les rives de la Gaule (la Narbonnaise, province 100% romaine où elle avait de la famille). Le reste est légende mais les fortunes de la nouvelle secte qu'avait récupérée Saül-Paul, l'agent du fisc romain (un type amieux qui parvint à écarter Jacob-Jacques, le frère de Yéshoua) fit qu'on se souvint que Myriam avait été très proche du fondateur du mouvement.
Paul, ce bon apôtre auto-proclamé, la calomnia (prostituée, pécheresse) et la présenta comme une dévergondée que la nouvelle religion qu'il prétendait représenter seul, avait sauvée des griffes noires de sept démons (ça sonnait bien, ce nombre sept et puis un bon vieux Satan tenait encore les masses en respect). Il n'aimait pas beaucoup les femmes.
Myriam, comme certaines autres femmes (mais pas toutes, certes non) incarnait pour ces gnostiques la divinité, la Sophia (un mot grec qui signifie sagesse ou connaissance). Équivalente à la "Shékina" des Juifs, en quelque sorte.
Un film a exploité cette théorie avec plus ou moins d'exactitude : le Da Vinci Code.
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Il n'y a aucune trace, aucun écrit (à part dans les évangiles, mais ils ont été tronqués ou falsifiés au cours des âges), aucun document qui puisse nous éclairer sur la vie de cette dame. Toute enquête est impossible.

Mais la réalité pourrait fort bien être la suivante : Myriam de Magdala (le nom de sa résidence, son domaine, en fait) était en réalité une riche héritière, une propriétaire terrienne et foncière qui finança et hébergea Yéshoua et sa petite troupe de disciples lorsqu'il fit son apparition dans la région.
Myriam épousa Yéshoua (Jésus) lors des fameuses noces de Cana (oui c'est lui, « l'époux », le maître de maison), tout au début de notre histoire.
Il y accomplit un mémorable « miracle » qui le désignait comme Magicien, plus fort que Shimon-le-mage, son concurrent.
Shimon-Petrus (Pierre), un patron-pêcheur assez macho que Yéshoua avait recruté pour sa police était jaloux d'elle et de son ascendant sur le rabbin Yéshoua. « Le maître » embrassait Myriam sur la bouche tout le temps et ça l'énervait. Ah ! l'amour !...
Quand les Romains arrêtèrent celui qu'ils considéraient comme un agitateur politique et qui menaçait la stabilité de la région, elle comprit que l'affaire était fichue. La Pax Romana frappa et crucifia le prophète local le plus en vue.
Elle vendit tout ce qu'elle possédait et embarqua avec ses enfants (ils en avaient eu deux ou trois depuis leur mariage), ses fidèles gens de maison et ses servantes pour fuir les représailles, tant des autorités d'occupation que des différentes factions juives.
Elle aborda les rives de la Gaule (la Narbonnaise, province 100% romaine où elle avait de la famille). Le reste est légende mais les fortunes de la nouvelle secte qu'avait récupérée Saül-Paul, l'agent du fisc romain (un type aux grandes amions personnelles qui parvint à écarter Jacob-Jacques, le frère de Yéshoua) fit qu'on se souvint que Myriam avait été très proche du fondateur du mouvement.
Paul, ce bon apôtre auto-proclamé, la calomnia (prostituée, pécheresse) et la présenta comme une dévergondée que la nouvelle religion qu'il prétendait représenter seul, avait sauvée des griffes noires de sept démons (ça sonnait bien, ce nombre sept et puis un bon vieux Satan tenait encore les masses en respect). Il n'aimait pas beaucoup les femmes.
Myriam, comme certaines autres femmes (mais pas toutes, certes non) incarnait pour ces gnostiques la divinité, la Sophia (un mot grec qui signifie sagesse ou connaissance). Équivalente à la "Shékina" des Juifs, en quelque sorte.
Un film a exploité cette théorie avec plus ou moins d'exactitude : le Da Vinci Code.
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Il n'y a aucune trace, aucun écrit (à part dans les évangiles, mais ils ont été tronqués ou falsifiés au cours des âges), aucun document qui puisse nous éclairer sur la vie de cette dame. Toute enquête est impossible.

Mais la réalité pourrait fort bien être la suivante : Myriam de Magdala (le nom de sa résidence, son domaine, en fait) était en réalité une riche héritière, une propriétaire terrienne et foncière qui finança et hébergea Yéshoua et sa petite troupe de disciples lorsqu'il fit son apparition dans la région.
Myriam épousa Yéshoua lors des fameuses noces de Cana (oui c'est lui, « l'époux », le maître de maison), tout au début de notre histoire.
Il y accomplit un mémorable « miracle » qui le désignait comme Magicien, plus fort que Shimon-le-mage, son concurrent.
Shimon-Petrus (Pierre), un patron-pêcheur assez macho que Yéshoua avait recruté pour sa police (un homme de main, au départ) était jaloux d'elle et de son ascendant sur le rabbin Yéshoua (Yéshoua, c'est Jésus, au fait). « Le maître » embrassait Myriam sur la bouche tout le temps et ça l'énervait. Ah ! l'amour !...
Quand les Romains arrêtèrent celui qu'ils considéraient comme un agitateur politique et qui menaçait la stabilité de la région, elle comprit que l'affaire était fichue. La Pax Romana frappa et crucifia le prophète local le plus en vue.
Elle vendit tout ce qu'elle possédait et embarqua avec ses enfants (ils en avaient eu deux ou trois depuis leur mariage), ses fidèles gens de maison et ses servantes pour fuir les représailles, tant des autorités d'occupation que des différentes factions juives.
Elle aborda les rives de la Gaule (la Narbonnaise, province 100% romaine où elle avait de la famille). Le reste est légende mais les fortunes de la nouvelle secte qu'avait récupérée Saül-Paul, l'agent du fisc romain (un type aux grandes amions personnelles qui parvint à écarter Jacob-Jacques, le frère de Yéshoua) fit qu'on se souvint que Myriam avait été très proche du fondateur du mouvement.
Paulus, ce bon apôtre auto-proclamé, la calomnia (prostituée, pécheresse) et la présenta comme une dévergondée que la nouvelle religion qu'il prétendait représenter seul, avait sauvée des griffes noires de sept démons (ça sonnait bien, ce nombre sept et puis un bon vieux Satan tenait encore les masses en respect).
Myriam, comme certaines autres femmes (mais pas toutes, certes non) incarnait pour ces gnostiques la divinité, la Sophia (un mot grec qui signifie sagesse ou connaissance). Équivalente à la "Shékina" des Juifs, en quelque sorte.
Un film a exploité cette théorie avec plus ou moins d'exactitude : le Da Vinci Code.
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Il n'y a aucune trace, aucun écrit (à part dans les évangiles, mais ils ont été tronqués ou falsifiés au cours des âges), aucun document qui puisse nous éclairer sur la vie de cette dame. Toute enquête est impossible.

Mais la réalité pourrait fort bien être la suivante : Myriam de Magdala (le nom de sa résidence, son domaine, en fait) était en réalité une riche héritière, une propriétaire terrienne et foncière qui finança et hébergea Yéshoua et sa petite troupe de disciples lorsqu'il fit son apparition dans la région.
Myriam épousa Yéshoua lors des fameuses noces de Cana (oui c'est lui, « l'époux », le maître de maison), tout au début de notre histoire.
Il y accomplit un mémorable « miracle » qui le désignait comme Magicien, plus fort que Shimon-le-mage, son concurrent.
Shimon-Petrus, un patron-pêcheur assez macho que Yéshoua avait recruté pour sa police politique (un homme de main, au départ) était jaloux d'elle et de son ascendant sur le rabbin Yéshoua (Yéshoua, c'est Jésus, au fait). « Le maître » embrassait Myriam sur la bouche tout le temps et ça l'énervait. Ah ! l'amour !...
Quand les Romains arrêtèrent celui qu'ils considéraient comme un agitateur politique et qui menaçait la stabilité de la région, elle comprit que l'affaire était fichue. La Pax Romana frappa et crucifia le prophète local le plus en vue.
Elle vendit tout ce qu'elle possédait et embarqua avec ses enfants (ils en avaient eu deux ou trois depuis leur mariage), ses fidèles gens de maison et ses servantes pour fuir les représailles, tant des autorités d'occupation que des différentes factions juives.
Elle aborda les rives de la Gaule (la Narbonnaise, province 100% romaine où elle avait de la famille). Le reste est légende mais les fortunes de la nouvelle secte qu'avait récupérée Saül-Paul, l'agent du fisc romain (un type aux grandes amions personnelles qui parvint à écarter Jacob-Jacques, le frère de Yéshoua) fit qu'on se souvint que Myriam avait été très proche du fondateur du mouvement.
Paulus, ce bon apôtre auto-proclamé, la calomnia (prostituée, pécheresse) et la présenta comme une dévergondée que la nouvelle religion qu'il prétendait représenter seul, avait sauvée des griffes noires de sept démons (ça sonnait bien, ce nombre sept et puis un bon vieux Satan tenait encore les masses en respect).
Myriam, comme certaines autres femmes (mais pas toutes, certes non) incarnait pour ces gnostiques la divinité, la Sophia (un mot grec qui signifie sagesse ou connaissance). Équivalente à la "Shékina" des Juifs, en quelque sorte.
Un film a exploité cette théorie avec plus ou moins d'exactitude : le Da Vinci Code.
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(Rectification) Il n'y a aucune trace, aucun écrit (à part dans les évangiles, mais ils ont été tronqués ou falsifiés au cours des âges), aucun document qui puisse nous éclairer sur la vie de cette dame. Toute enquête est impossible.

Mais la réalité pourrait fort bien être la suivante : Myriam de Magdala (le nom de sa résidence, son domaine, en fait) était en réalité une riche héritière, une propriétaire terrienne et foncière qui finança et hébergea Yéshoua et sa petite troupe de disciples lorsqu'il fit son apparition dans la région.
Myriam épousa Yéshoua lors des fameuses noces de Cana (oui c'est lui, « l'époux », le maître de maison), tout au début de notre histoire.
Il y accomplit un mémorable « miracle » qui le désignait comme Magicien, plus fort que Shimon-le-mage, son concurrent.
Shimon-Petrus, un patron-pêcheur assez macho que Yéshoua avait recruté pour sa police politique (un homme de main, au départ) était jaloux d'elle et de son ascendant sur le rabbin Yéshoua (Yéshoua, c'est Jésus, au fait). « Le maître » embrassait Myriam sur la bouche tout le temps et ça l'énervait. Ah ! l'amour !...
Quand les Romains arrêtèrent celui qu'ils considéraient comme un agitateur politique et qui menaçait la stabilité de la région, elle comprit que l'affaire était fichue. La Pax Romana frappa et crucifia le prophète local le plus en vue.
Elle vendit tout ce qu'elle possédait et embarqua avec ses enfants (ils en avaient eu deux ou trois depuis leur mariage), ses fidèles gens de maison et ses servantes pour fuir les représailles, tant des autorités d'occupation que des différentes factions juives.
Elle aborda les rives de la Gaule (la Narbonnaise, province 100% romaine où elle avait de la famille). Le reste est légende mais les fortunes de la nouvelle secte qu'avait récupérée Saül-Paul, l'agent du fisc romain (un type aux grandes amions personnelles qui parvint à écarter Jacob-Jacques, le frère de Yéshoua) fit qu'on se souvint que Myriam avait été très proche du fondateur du mouvement.
Paulus, ce bon apôtre auto-proclamé, la calomnia (prostituée, pécheresse) et la présenta comme une dévergondée que la nouvelle religion qu'il prétendait représenter seul, avait sauvée des griffes noires de sept démons (ça sonnait bien, ce nombre sept et puis un bon vieux Satan tenait encore les masses en respect).
Myriam, comme certaines autres femmes (mais pas toutes, certes non) incarnait pour ces gnostiques la divinité, la Sophia (un mot grec qui signifie sagesse ou connaissance). Équivalente à la "Shékina" des Juifs, en quelque sorte.
Un film a exploité cette théorie avec plus ou moins d'exactitude : le Da Vinci Code.
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Il n'y a aucune trace, aucun écrit (à part dans les évangiles, mais ils ont été tronqués ou falsifiés au cours des âges), aucun document qui puisse nous éclairer sur la vie de cette dame. Toute enquête est impossible.

Mais la réalité pourrait fort bien être la suivante : Myriam de Magdala (le nom de sa résidence, son domaine, en fait) était en réalité une riche héritière, une propriétaire terrienne et foncière qui finança et hébergea Yéshoua et sa petite troupe de disciples lorsqu'il fit son apparition dans la région.
Myriam épousa Yéshoua lors des fameuses noces de Cana (oui c'est lui, « l'époux », le maître de maison), tout au début de notre histoire.
Il y accomplit un mémorable « miracle » qui le désignait comme Magicien, plus fort que Shimon-le-mage, son concurrent.
Shimon-Petrus, un patron-pêcheur assez macho que Yéshoua avait recruté pour sa police politique (un homme de main, au départ) était jaloux d'elle et de son ascendant sur le rabbin Yéshoua (Yéshoua, c'est Jésus, au fait). « Le maître » embrassait Myriam sur la bouche tout le temps et ça l'énervait. Ah ! l'amour !...
Quand les Romains arrêtèrent celui qu'ils considéraient comme un agitateur politique et qui menaçait la stabilité de la région, elle comprit que l'affaire était fichue. La Pax Romana frappa et crucifia le prophète local le plus en vue.
Elle vendit tout ce qu'elle possédait et embarqua avec ses enfants (ils en avaient eu deux ou trois depuis leur mariage), ses fidèles gens de maison et ses servantes pour fuir les représailles, tant des autorités d'occupation que des différentes factions juives.
Elle aborda les rives de la Gaule (la Narbonnaise, province 100% romaine où elle avait de la famille). Le reste est légende mais les fortunes de la nouvelle secte qu'avait récupérée Saül-Paul, l'agent du fisc romain (un type aux grandes amions personnelles qui parvint à écarter Jacob-Jacques, le frère de Yéshoua) fit qu'on se souvint que Myriam avait été très proche du fondateur du mouvement.
Paulus, ce bon apôtre auto-proclamé, la calomnia (prostituée, pécheresse) et la présenta comme une dévergondée que la nouvelle religion qu'il prétendait représenter seul, avait sauvée des griffes noires de sept démons (ça sonnait bien, ce nombre sept et puis un bon vieux Satan tenait encore les masses en respect).
Myriam, comme certaines autres femmes (mais pas toutes, certes non) incarnait pour ces gnostiques la divinité, la Sophia (un mot grec qui signifie sagesse ou connaissance). Équivalente à la "Shékina" des Juifs, en quelque sorte.
Un film a exploité cette théorie avec plus ou moins d'exactitude : le Da Vinci Code.
Voilà, vous savez (presque) tout, les amis ! A plus !

 

 

 


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Jesusmonroi

 

 

 

Pour tout ceux qui non pas aimer le film tempis pour vous .
Que Dieu vous bénisses.

 

 

 


Par Jesusmonroi | Non Premium --
YF

 

 

 

LiLy Putien,
Maria de Magdala, beaucoup d'historien évoque que Magdala était un village.
De fait, comme souvent à l'époque, il s'agissait de précisé que c'était Marie qui venait du village de Magdala (dont l'existence a été prouvéà

 

 

 


Par YF | Non Premium --
arrmader

 

 

 

eteinttatv je comprend que tu n'y trouves pas les évangiles canoniques ...puisque l'on parle des évangiles "apocryphes" celles qui remettent la femme à l'égale de l'homme et qui balaie le sexisme , le racisme et tous les mots en "ismes" qui font honte à l'humain

 

 

 


Par arrmader | Non Premium --